Que tu aimes un peu, beaucoup, passionnément, a la folie, pas beaucoup ou pas du tout est identique
Tu restes accroché à cette chose.
Tu le crées
Tu l'entretiens
Tu y crois
Tu lui donnes de la force
Tu t'y perds
Tu le rappelles a toi
Tu l'attires
Et tu oublies de le voir comme il est vraiment
Tu oublies ce que tu es vraiment
Tu fais comme avec la fleur que tu as cueilli et a laquelle tu arraches fragment après fragment, tu détruis La Vie.
Tu n'abîmes que toi
Tu es la fleur de Vie quand tu crois en la fleur
Tu es la Vie quand tu t'oublies.
Comme tout un chacun.
Mais tu fais de toi des pétales fragmentées, jaugées par une quantité de non-amour véritable, mais conditionné.
Tu te crois une simple pétale, tu crées alors ta vie illusoire de pétale
Ensuite tu te crois la racine de la fleur parce que cela semble avoir plusse de valeur à tes yeux, alors tu te crées ta vie illusoire et fragmentée de tes racines.
Comment veux tu t'aimer ainsi ? Et aimer ce qui te donne Vie et que tu es réellement ?
Mais dont tu te sers en te donnant une illusion de vie.
Cela n'est ni bien ni mal en soit,
sauf que tu te fais croire vivre dans un monde de bien et de mal,
dans lequel tu souffres de ce que tu déchires en toi.
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